• Chapitre 1 Aya : parcours une seule romance

    © Je fermais les yeux , je sentis une vague de chaleur me traverser , je frissonnais mais gardais les yeux fermés, j’espérais m'échapper de cette réalité. Vous pouvez pensez ce que vous voulez , que j'étais juste capricieuse , que j'aurai du être contente d'être en vie , je le savais mais ce n'était pas mon opinion. Je détestais tout simplement ma vie , il y avait même des moments où je regrettais d'avoir été mise au monde . Après être restée quelques minutes les yeux fermés je me decidai à les ouvrir …...

    Jamais je n'aurais cru possible qu'un jour mes prières furent entendues. Quand j'eu ouvert les yeux , je n'étais plus du tout dans ma chambre, mais dans une salle de classe, tous les élèves me fixaient, j'étais différente, ils étaient tous des personnages de manga !

    Le professeur me regardait en souriant , il se présenta, il s'appelait Ichimoku Ren et disait faire partie du manga Jigoku Shoujo , j'étais stupéfaite , tout le monde me regardait en souriant quand j'eu fini de me présenter. Il m'indiqua une place au premier rang, j'allai m'asseoir quand il me rappela au tableau :

    -Excusez-moi mademoiselle j'ai oublié un détail ! Veuillez attendre quelques instants, le directeur va venir vous chercher !

    Le directeur apparut quelques secondes après et me demanda de le suivre dans son bureau. Je m'assis sur un des deux fauteuils en face de son bureau et il commença à m'expliquer la situation dans laquelle je me trouvais :

    -Bienvenue à l'académie Cross, je suis Monsieur Cross le directeur de cette école, nous avons bien étudiés votre cas avec mes collègues, il semblerait que vous avez une vie difficile dans le vrai monde, nous avons donc décidés d'accepter votre passage dans notre monde.

    -Je ne comprend pas vraiment tout ce que vous me raconter , j'ai subis un transfert de monde ?

    -Oui c'est exact, lorsque vous avez priée vous avez été transportée ici, d'ailleurs la deuxième chose que je dois vous expliquer est que vous n'êtes pas sure de rester toute votre vie ici, il pourrait se passer des incidents qui feraient que vous seriez renvoyée, mais je ne pense pas qu'ils se produiront , je vous fais confiance pour bien travailler et être studieuse …

    Le directeur fut interrompu par l'ouverture de la porte de son bureau, je restai bouche-bée.

    -Je t'en prie Usui pose ces feuilles sur mon bureau !

    Je me levai brusquement et fixait le garçon qui venait d'entrer dans la pièce. Le directeur me demanda si j'allai bien et je ne pus répondre tout de suite :

    -E....Et bien une vague de chaleur me traverse le corps, je ne vous ai pas parler d'un élément de ma vie qui me perturbe énormément ..
    -Je vois . Usui tu peux disposer!

    -En fait, j'aimerais qu'il reste si vous n'y voyez aucun inconvénient ?

    Il fit signe à Usui de s'asseoir sur l'autre fauteuil en face de lui et me donna la parole :

    -En fait, cela va paraître bizarre mais cela fait plusieurs semaines qu'il m'arrive un étrange phénomène, à chaque fois que je m'endors, j'ai un même rêve qui se poursuit, comme si je voyais un film dont je suis l'actrice principale, et dans ce rêve il y a toujours ce même garçon …..

    -C'est étrange en effet, mais pourquoi m'en parler ?

    -Parce que ce garçon dont je vous parle, il s'agit d'Usui...

    Le directeur me fixa avec une mine interrogée, je me retournai vers Usui, il me regardait avec de grands yeux ronds.

    -Je sais ça vous paraît fou, ça à juste l'air d'un fantasme, mais je vous jure que ça ne vient pas de moi.

    Le directeur s'apprêtait à répliquer quelque chose lorsqu'Usui se leva d'un coup :

    -Ce n'est pas fou ! Sa fait deux semaines qu'il m'arrive exactement la même chose, mais je ne vois pas le visage de cette fille avec qui je suis. Mais cette voix, ta voix , c'est celle de mon rêve....Est-ce que tu … t'appelles Aya ?

    Le directeur était abasourdi, "ce mythe n'a pas refait surface depuis des siècles...", pensait-il.

    -Oui je m'appelle Aya.

    Usui retomba sur le fauteuil et le directeur ne prononça qu'une seule phrase :

     

    -Votre aventure ne fait que commencer.©